Le Petit Peuple de Pierre est édité aux éditions Brettshe

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 Le livre Le Petit Peuple de Pierre

 

En coproduction avec la Scène Dunoise (23)

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Spectacle court, 30 minutes
Public : 4-10 ans et tout public
Jauge : 65 personnes par représentation

 

Quand des sculpteurs d'histoires rencontrent un sculpteur de pierre...

Téléchargez le dossier avec la fiche pédagogique réalisée par l'Inspection Académique en cliquant ici !

 

Sculptures réalisées par Roland Vincent, artiste Creusois.

 

Le spectacle se déroule sous un dôme de 8 mètres de diamètre et de 3 mètres de haut.
De ce fait, il peut être donné partout, sur un plateau de théâtre bien sûr mais aussi dans n'importe quel autre lieu (hopitaux, centres sociaux, etc...) et également en extérieur en été (parcs, jardins publics, places, etc...).

Le dôme symbolisera tour à tour une fôret, un torrent, puis une ruche, le temple des abeilles.

 

“Une quête riche d’aventures, de poésie et d’instants magiques. Un vrai beau moment théâtral” L’UNION

 


“Quand un sculpteur d'histoire rencontre un sculpteur de pierre, on en sort tout simplement émerveillé ! ”
L’AISNE NOUVELLE

Résumé
Le petit peuple de Pollénie est en émoi car une vilaine guêpe a pris le pouvoir par la force en transformant ses habitants en statues de pierre.

Elle règne désormais en maître sur ce qu’elle nomme elle-même Son petit peuple de pierre.  

Enfin le croit-elle ! Car notre peuple, la nuit, parle, bouge. L’âme des pierres se révèle… et la nature va bientôt reprendre ses droits !

 


“Le monde merveilleux de la Compagnie Nomades a enchanté petits et grands ”
LA MONTAGNE

 

Les Thèmes abordés :
Sculpture, écologie, le territoire de l'abeille et ses habitants (les insectes, les fleurs, etc...), histoire, pouvoir,  différence,  nature, pierre, quête, solidarité, amour.

Les Personnages 
Les personnages, habitants de Pollénie (le pays du miel...), sont tous issus de la nature :



Cœur de Pierre : Une guêpe

Oxymore : Un scarabée

Théo : Un bébé abeille

Pierre : un coléoptère divers… et d’été !

Moustique : … un moustique

Autres insectes et champignons : Précieuse, Cardin, Lactaire, Mirador, etc…

 

“Le public adulte n'a pas non plus boudé son plaisir pour ce spectacle très original” L’ECHO DU CENTRE

Coeur de pierre...

 

Critique des éditions Brettsche :
Une jolie petite pièce de théâtre pour jeune public. Les personnages sont attachants et très amusants.
Cette pièce est à double lecture ; les plus jeunes riront de bon cœur aux facéties des personnages et les parents prennent un réel plaisir à comprendre les références et les jeux de mots dissimulés tout au long du texte.

 

Le projet

 

 

Dessin : Daniel Fayet

Origine du projet

L’idée de la création du petit peuple de pierre m’est venue lors d’une  rencontre en juillet 2010 avec Roland Vincent, artiste sculpteur de pierres Creusois, alors que je me rendais sur les conseils d’un ami dans son atelier pour découvrir  ses sujets taillés dans de gros morceaux de granit.

Impressionné par ses visages, ses personnages, ses sujets,  je vagabondais en famille au milieu de son univers minéral lorsque je fus attiré par des petites statuettes enfouies au  fond de son garage. « Mes babioles » m’expliqua-t-il, « j’en ai fait beaucoup dans le passé».  Mais alors que ses blocs de granit étaient mis en évidence partout dans son jardin, « ses babioles » étaient cachées, délaissées, entre elles, dans une semi pénombre, comme un peuple au fond d’une mine de charbon, sans même que leur créateur sache réellement pourquoi.


Je lui demandais d’allumer la lumière. De les mettre au grand jour.


Une fois fait,  plus de deux cents personnages tous plus surprenants les uns que les autres, retrouvèrent de la vie. Une vraie caverne d’Ali Baba qui aurait été découverte et qui serait désormais présentée aux visiteurs.


 « C’est génial » m’exclamais-je.
Le petit peuple de pierre venait de naître.


Je pris des photos, lui promettant - après l’achat d’une superbe grosse sculpture et de deux « babioles » pour mes filles -  de revenir quelques semaines après une fois l’histoire imaginée.
J’y retournais fin septembre, alors que j’avais déjà bien avancé sur l’écriture, choisir celles qui allaient bientôt devenir nos personnages.


 

Sa technique

Roland Vincent sculpte donc de gros morceaux de granit. Ce faisant, il ne jette rien et les éclats de pierre sont stockés, écrasés, parfois peints, vernis… Il créé ensuite à partir de matière ou d’objets de récupération des sujets, humains, animaux, choses, qu’il recouvre de ses éclats.

« Ses babioles » sont donc le plus souvent légères et se révèlent parfaitement adaptées à la manipulation même si l’aspect sculptures ou statuettes n’est pas comparable avec les techniques habituelles de la marionnette.


 C’est ce qui fait l’originalité du projet et ce qui – à mon sens – le rend intéressant et novateur pour la compagnie. C’est en tout cas l’un des sujets du spectacle. Les pierres ont une âme, le sculpteur la met en évidence.  


Les comédiens, le metteur en scène,  sont aussi des sculpteurs - d’histoires - le petit peuple de pierre est donc une rencontre de sculpteurs. Une rencontre d’artistes.

 


Le dôme

Avec la taille des sculptures de Roland, de 30 à 70 centimètres, il fallait évidemment une vraie proximité entre elles et le public pour qu'elles émeuvent, qu'elles interpellent, qu'elles "parlent".

En écrivant ce conte m'est venue l'idée de jouer sous une tente.

Tout en renvoyant d'une certaine manière à la cage de Giacometti en "enfermant" les sculptures mais aussi les spectateurs, je réglais de cette manière facilement le problème posé.

Dans mon esprit, cette tente pouvait avoir une forme rectangulaire, pour évoquer par exemple les temples historiques grecques puisque les références entre la pierre et l'homme sont omniprésentes dans l'histoire, ou, arrondie, pour évoquer directement une ruche puisque la Polénie, territoire où se déroule notre histoire, est bien entendu celui de l'abeille.

Après discussion avec Charlotte et Jean-Louis, la forme dôme fût préférée. L'idée étant aussi qu'en le construisant on fabriquait un outil qui pourrait servir d'autres projets futurs.
Jean-Louis l'a conçu de A à Z de manière formidable et l'association a passé plusieurs semaines à sa construction.

Le fait de pouvoir jouer à la fois en intérieur et en extérieur (avec une bâche) offre évidemment de belles perspectives...

 

Jean-Bernard Philippot

 

Lors du festival Soissons en Sc'Aisne - septembre 2011
Jardins de l'hôtel de ville

 

 

 

Mettez la vidéo en plein écran en cliquant sur les flèches en bas à droite du lecteur.
(NB : la vidéo - c'est un film amateur - ne traduit pas l'exact rendu des lumières)

 

Conte théâtral :
Jean-Bernard Philippot

Sculptures :
Roland Vincent


Equipe artistique de création :
Charlotte Joliveau, Jean-Bernard Philippot, Jean-Louis Wacquiez.

Scénographie :
Compagnie Nomades et Elodie Monet

Comédiens et manipulateurs :
Charlotte Joliveau et Jean-Louis Wacquiez

Percussions :
Jean-Bernard Philippot

Costumes :
Brigitte Mien


Masque :
Jean-Louis Wacquiez

Marionnettes :
Claire Rabant

Création lumières :
Jean-Bernard Philippot

Administration :
Amandine Jouasneau

Photos :
Franck Poidevin et Franck Alleron (site)

Recherche scène 3.

 

 

Une co-production Compagnie Nomades/Association La Scène Dunoise(23)/Fédération des Œuvres Laïques de l’Aisne/Communauté de Communes de la Vallée de l’Ailette/Municipalité de Trosly-Loire/Municipalité de Vic/Aisne.


La compagnie est subventionnée par la DRAC Picardie, Le Conseil Régional de Picardie, le Département de l’Aisne, la Ville de Soissons.

Compagnie agréée par l'Education Nationale, membre d'Acte-pro.

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Contact : Compagnie Nomades 03.23.54.53.23

 

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